Prière des Oupasok – Oupasika1
I-MINÂ SAKKÂRÊNA, TANG BHUD-DHANG A-BHIPU-CHAYÂMA. (MI)
I-MINÂ SAKKÂRÊNA, TANG DHAM-MANG A-BHIPU-CHAYÂMA. (MI)
I-MINÂ SAKKÂRÊNA, TANG SANG-GHANG A-BHIPU-CHAYÂMA. (MI)
(Se prosterner une fois)
ARA-HANG SAMMÂ – SAMBHUD-DHÔ BHA-GHAVÂ,
BHUDDHANG BHA-GHAVANTANG ABHI-VÂ-THÊMI.
(Se prosterner une fois)
SAVÂKKHÂTO BHAGHAVATÂ DHAMMO, DHAMMANG NAMASSÂMI. (MI)
(Se prosterner une fois)
SUPATI-PANNO BHAGHAVATO SÂVAKASANGHO, SANG-GHANG NAMÂMI.
(Se prosterner une fois)
NAMO TASSA BHAGHAVATO ARAHATO SAMMÂ-SAMBHUT-DHASSA.
NAMO TASSA BHAGHAVATO ARAHATO SAMMÂ-SAMBHUT-DHASSA.
NAMO TASSA BHAGHAVATO ARAHATO SAMMÂ-SAMBHUT-DHASSA.
BHUDDHANG SARANANG GHATCHÂMI.
DHAMMANG SARANANG GHATCHÂMI.
SANGKHANG SARANANG GHATCHÂMI.
DHUTI YAMPI, BHUDDHANG SARANANG GHATCHÂMI.
DHUTI YAMPI, DHAMMANG SARANANG GHATCHÂMI.
DHUTI YAMPI, SANG-GHANG SARANANG GHATCHÂMI.
TATI YAMPI, BHUDDHANG SARANANG GHATCHÂMI.
TATI YAMPI, DHAMMANG SARANANG GHATCHÂMI.
TATI YAMPI, SANG-GHANG SARANANG GHATCHÂMI.
(Se prosterner une fois)
I-TISO BHAGHAVÂ,-A-RAHANG SAMMÂ SAMBHUDDHÔ,
VITXÂTCHÂ-RANASAMPANNO,SUKHATO LOKAVI-DHÛ,
ANUTTARÔ PURISSA-DHAMMASÂRATHI,
SATTHÂ DHÊVA-MANUS-SÂNANG,
BHUDDHÔ BHAGHA-VÂTI.
Se prosterner et tête à terre
KÂYÊNA VÂCHÂ-VA CHÊTA-SÂVÂ,
BHUD-DHÊ KUKAMMANG PAKATANG MAYÂYANG,
BHUD-DHÔ PATIKGHANHÂ-TU,
AT-CHA-YANTANG KÂLANTARÊ,
SANGVARITUNG VA BHUD-DHÊ.
(Relever la tête)
SAVÂK-KHÂTO BHAGHAVATÂ DHAMMO,
SANH-THIT-THIKO ÂKÂLIKO ÊHI-PASSIKO,
ÔPANÂYIKO PATCHAT-TANG VÊDHITABBO
VINH-YÛHÎ TI.
(Se prosterner et tête à terre)
KÂYÊNA VÂCHÂ-YA VACHÊTA-TÂVÂ
DHAMMÊ KUKAMMANG PAKATA-TANG MAYÂ
DHAMMO PATIK-GHANHÂ-TU
AT-CHA-YANH-TANG KÂLANTARÊ
SANGVARITUNG VA DHAMMÊ.
(Relever la tête)
SUPATI-PANNO BHAGHAVATO SÂVAKA-SANG-GHÔ,
Û-CHU-PATIPANNO BHAGHAVATO SÂVAKA-SANG-GHÔ,
YÂYA-PATIPANNO BHAGHAVATO SÂVAKA-SANG-GHÔ,
SÂMÎCHIPATI-PANNO BHAGHAVATO SÂVAKA-SANG-GHÔ,
YATHI-DHANG, CHAT-TÂRI PURISA-YUGHÂNI
AT-THA PURISA PUK-GHALÂ, ÊSA BHAGHAVATO SÂVAKA-
SANG-GHÔ, ÂHU-NAIYO, PÂ-HUNAIYO, DHAKKHI-
NAIYO ANH-XALI KARA-NÎYO, ANUT-TARANG
PUNYAK-KHÊT-TANG LÔKAS-SÂTI.
(Se prosterner et tête à terre)
KÂYÊNA VÂCHÊ-TA-SÂVÂ
SANG-GHÊ KUKAMMANG PAKATA-TANG
MAYÂ-YANG SANGHÔ PATIK-GHANHÂ-TU
ATCHAYANTANG KÂLAN TARÊ SANGVARI-
TUNG VA SANGKHÊ.
(Relever la tête)
GRAND VANDHÂ
ÛKÂSA VANDHÂMI BHANTÊ CHÊTIYANG
SABBANG SABBHATHA DHÂNÊ SUPATI-THIT-
TANG SÂRI-RIKA-DHÂTU MAHÂ BÔDHING
BHÛD-DHA RÛPPANG SAKÂRANG SÂTHA
VÂCHÂ-SA MANASÂ CHÊVA VANDHÂMÊ TÊ
TATHÂ GÂTÊ SAYÂNÊ ÂSÂNÊ THÂNÊ
GHAMANÊ CHÂPI SABBHADHÂ.
(se prosterner une fois)
PETIT VANHRÂ
OUKÂSA VANDHÂMI BHANTÊ
SABBHANG -APÂRA-DHANG GHÂMÂ THÂMÊ
BHANTÊ MAYÂ KATANG PUNYANG
SÂMINÂ ANUMÔ-DITAB-BHANG SÂMINA
KATANG PUNYANG MAYHANG DHÂTAB-
BHANG SÂDHU SÂDHU ANUMÔ DHÂMI.
Fin de la Prière
- La « Prière des Oupasok(homme) et Oupasika(femme) » n’est pas une prière unique récitée à un moment précis, mais plutôt un ensemble de pratiques qui peuvent être accomplies à divers moments et occasions :
Quotidiennement: De nombreux laïcs pratiquants récitent certaines de ces prières quotidiennement, souvent le matin et/ou le soir, chez eux devant un autel bouddhiste. Cela permet de commencer et de terminer la journée en se reconnectant à ses valeurs spirituelles.
Lors des visites au temple (Wat): C’est une pratique courante lors des visites au temple. Les fidèles peuvent réciter ces prières individuellement ou collectivement, guidés par les moines.
Les jours saints bouddhistes (Uposatha): Ces jours de pleine lune, de nouvelle lune et les quartiers de lune sont des occasions spéciales pour intensifier la pratique spirituelle. Les laïcs peuvent passer plus de temps au temple, écouter des enseignements et réciter ces prières avec plus de ferveur.
Lors de cérémonies et de fêtes religieuses: Ces prières font partie intégrante de nombreuses cérémonies bouddhistes, comme les offrandes, les commémorations et les festivals.
Avant et après la méditation: Réciter certaines de ces prières peut préparer l’esprit à la méditation et conclure la séance en dédiant les mérites.
Dans les moments de réflexion et de dévotion personnelle: Un fidèle peut choisir de réciter ces prières à tout moment où il ressent le besoin de se connecter à sa foi et de cultiver des états d’esprit positifs.
1. PRIÈRE DES OUPASOK-OUPASIKA (Laïcs)
Prise des Trois Refuges et Hommage: Cette section commence par la prise des Trois Refuges (« Boud-dham Saranam Gatchami… », « Dham-mam Saranam Gatchami… », « Sang-kham Saranam Gatchami… ») répétée trois fois, suivie de l’hommage au Bouddha (« Namo Tassa Bhagavato Arahato Sammā Sambuddhassa ») également répété trois fois. C’est une pratique fondamentale pour réaffirmer son engagement sur le chemin bouddhiste.
Éloge des Trois Joyaux: Les strophes suivantes rendent hommage aux qualités exceptionnelles du Bouddha (« Ara-hang Sammā – Sambuddho… »), du Dharma (ses enseignements, « Savakkhāto Bhagavatā Dhammo… ») et du Sangha (la communauté des pratiquants, « Supatipanno Bhagavato Sāvaka Sangho… »). Méditer sur ces qualités peut apporter inspiration et renforcer la foi.
2. KÂYÊNA VÂCHÂ-VA CHÊTA-SÂVÂ (Confession)
Cette section est une confession des fautes commises par le corps, la parole et l’esprit envers le Bouddha, le Dharma et le Sangha. C’est une pratique importante pour purifier l’esprit et cultiver l’humilité. La répétition « SANGVARITUNG VA BHUD-DHÊ/DHAMMÊ/SANGKHÊ » exprime le désir de s’abstenir de telles actions à l’avenir. La prostration qui accompagne cette prière marque le repentir et le respect.
3. GRAND VANDHÂ (Grande Vénération)
Cette prière est un hommage profond au Bouddha sous ses différentes formes : les stupas contenant ses reliques (« Chêtiyang »), le grand arbre de la Bodhi (« Mahâ Bôdhing »), son image (« Bhûd-dha Rûppang »), et le Bouddha en toutes circonstances (« Sayânê Âsânê Thânê Ghamanê »). C’est une expression de dévotion et de gratitude envers le Bouddha.
4. PETIT VANHRÂ (Petite Vénération)
Cette courte prière est une demande de pardon pour toutes les transgressions commises par le corps, la parole et l’esprit envers le Bouddha, le Dharma et le Sangha. Elle inclut également l’expression de joie et l’acceptation des mérites des autres (« Sâminâ Anumô-ditab-bhang ») et le partage de ses propres mérites (« MAYHANG DHÂtab-bhang »). C’est une pratique de purification et de connexion avec la communauté spirituelle. ↩︎